Moi c’est Café… euh, Charley. Et il me faut plus de café. Le sommeil c’est l’angoisse : Reyes, le fils du Diable chaud comme l’enfer que j’ai emprisonné pour l’éternité, hante mes cauchemars. Je crois qu’il me hait. Mais est-ce que les criminels accepteraient de me laisser tranquille le temps que je règle ça ? Bien sûr que non. Un type veut que j’enquête sur sa femme disparue… sauf que je suis sûre que c’est lui qui a fait le coup. Si j’arrive à m’injecter le café en intraveineuse, je devrais pouvoir le prouver. Sauf si mon grincheux de père revient à la charge pour me faire changer de métier parce que détective privée c’est trop dangereux.
Bon d’accord, je manque de me faire tuer une fois par semaine, mais c’est pas une raison. Je suis super comme détective… et comme Faucheuse !
Café ?  

L'addiction de Charley au café est de plus en plus forte, plus on avance dans les tomes... Après les étranges et surprenantes révélations de Reyes, Charley est persuadée qu'il la hait de toute son âme... Façon de parler, évidement. Les petites phrases en haut de chaque chapitre valent encore une fois le détours. Je pense qu'un jour, je recopierai les meilleurs et en ferai un article complet. Il y aura du boulot ! Papa Davidson commence aussi à revendiquer le droit d'imposer à Charley de changer de métier, mais notre Charley ne l'entend pas de cette oreille ! Malgré toute mon affection pour Papa Davidson, il m'a pas mal courut sur le haricot, avec son combat. Mais bon, on lui pardonne: c'est Papa Davidson. Un personnage m'a vraiment plu, et alors là je vais utiliser le Surlingeur Magique de L'Express : Donovan. Bon, ça c'est pas secret mais ça : J'aurais presque voulu qu'il reste plus longtemps et qu'il fasse une belle concurrence à Reyes. Ca lui aurai apprit, tiens ! Mais il faut qu'il s'en aille au Nouveau-Mexique, je crois... Et ça c'est trop triste.